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  • François De Keyser

    "J'aime la constance l'UPTR"


    2010 en bref

    Creation : 2010

     

    Activités : transport de lots complets ou demi-lots sur l’Europe occidentale

     

    Parc : 5 tracteurs, 20 semi-remorques bâchées

     

     

    www.dktrans.be

    La vie d’un transporteur n’est pas un long fleuve tranquille. François De Keyser peut vous en parler, lui qui a subi un incendie qui a mis un terme, provisoire, à ses activités lo- gistiques. Qu’à cela ne tienne, un nouvel entrepôt va bientôt sortir de terre et de nouveaux défis attendent le patron de DK Trans. Avec l’UPTR à ses côtés.

    Evénement marquant dans l’histoire de la société : l’incendie de son entrepôt en 2018. « Nos activités ont été sérieusement perturbées suite à cet incendie puisque nous avons dû sus- pendre nos activités logistiques. Nous attendons actuellement le permis de bâtir pour reconstruire un entrepôt de 5.000 m2 et espérons débuter les travaux cette année encore », décla- re-t-il.

    Membre de l’UPTR depuis la fin des années ’80, François De Keyser apprécie la constance de son action : « L’UPTR a tou- jours aidé les transporteurs, quelle que soit leur taille, et no- tamment les entreprises familiales. C’est une des raisons de mon engagement voilà trente ans maintenant. Par ailleurs, j’ai aussi toujours apprécié les dirigeants de l’UPTR et je suis très heureux d’en faire partie. »

    « L’UPTR a toujours aidé les transporteurs, et notamment les entreprises familiales. »

    « ON N’A PAS LE TEMPS DE S’ENNUYER »

    Pour mieux cerner leur vision du transport routier, nous avons demandé aux membres du Conseil d’Administration de l’UPTR de compléter les deux phrases suivantes. Les répon- ses de François De Keyser :

    Pour moi, le transport routier c’est… « un beau métier malgré les difficultés, qui sont de plus en plus nombreuses… »

    L’avenir du transport routier passe par… « l’harmonisation européenne. Je n’ai jamais eu peur de la concurrence mais il faut que les mêmes règles s’appliquent à tout le monde. Le secteur doit aussi répondre à de plus en plus de normes et d’exigences : économiques, environnementales, sociales, etc. Sans parler des embouteillages, de la difficulté de trouver des chauffeurs. Bref, on n’a pas le temps de s’ennuyer. »